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nager le plaisir, lui claquait doucement les fesses, la baisait la langue à la bouche, l’appelant son amour, sa divinité, son âme, et entrecoupant ses discours par de fréquents soupirs. Ses yeux s’égaraient ; elle sentit qu’il la poussait plus fort, elle poussa de même ; il lui dit alors en balbutiant : eh ! vite… vite, ma mie, je meurs… je décharge… En même temps elle se sentit inondée d’un torrent de liqueur amoureuse qui la chauffa de façon que, ne pouvant plus y résister, elle donna cinq à six coups de cul et déchargea avec autant de plaisir que la première fois. Elle reconnut alors pour vrai tout ce que sa cousine lui avait dit touchant la semence qu’on répand dans l’accouplement amoureux, et raisonnant là-dessus, elle ne put disconvenir que c’est le plus précieux don que nous ayons reçu de la nature, que sans celui-là tous les autres ne sont rien. Robinet lui dit alors qu’il aimait mieux le lui montrer d’effet que de paroles, et que la pratique était au-dessus de la théorie ; pour lui en donner la preuve, il l’embrassa, lui mania les tetons, lui troussa la jupe, lui écarta les cuisses, lui mit le membre au trou velu et le lui fit de nouveau en levrette, la motte en arrière ; il l’assura que cette