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de la galerie, où ma mère veut que j’aille la nuit crainte que je ne fasse du bruit en ouvrant la porte. Il me dit alors qu’il ne fallait pas nous désespérer et tâcher de prendre l’occasion quand elle se présenterait. Sur cette résolution, il me vint voir le lendemain, mais en vain ; le jour d’après, nous fûmes plus heureux, car Robinet étant arrivé dans le temps que la servante était sortie, ma mère m’ordonna d’aller lui ouvrir la porte ; sitôt qu’il fut dans la maison, me trouvant d’autant plus ardente à cela que j’avais peur de perdre le temps et de manquer l’occasion, il me poussa contre le mur, m’élargit les cuisses, me troussa la cotte qu’il me fit tenir avec les deux mains, approcha son membre qui était bien raide et en se baissant il me le fourra dans mon bijou le mieux qu’il put, en s’efforçant de pousser avec la plus grande hâte possible. Je le trouvai bon comme cela, car il y avait longtemps que je ne l’avais fait. Il eut fini plus tôt que moi et voulut se retirer, mais je le retins en le priant d’attendre que j’eusse fini aussi ; comme son engin était encore bien dur, à peine eut-il poussé dix à douze coups que je fis à mon tour une copieuse éjaculation. Quand nous eûmes achevé, nous montâmes