Page:Le Goffic - L'Âme bretonne série 4, 1924.djvu/131

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Pour conclure en trois mots, je n’ambitionne point une statue à Vitré : si l’on m’en eût élevé une, j’en aurais été ravie ; si je n’en dois point avoir, je m’en consolerai en relisant Nicole et son traité sur les moyens d’entretenir la paix entre les hommes. Le meilleur en l’occurence est peut-être de faire la morte. C’est une chose qui m’est très aisée, mais dont vous penserez sans doute que j’aurais pu m’aviser plus tôt.


Pour copie conforme.
G. L. G.