« P’tit frère, dis-moi donc zut, tout haut, qu’on croie qu’tu parles à ta maîtresse ». — Et ceci : — « Déclaration d’une demoiselle de dix-huit ans à son cavalier : « Oh ! vous, je ne vous épouserai pas. Vous n’êtes pas suffisamment bête pour faire un mari. Mais votre tête me va. Tout de bon ! Je veux des amants chics ; vous viendrez le troisième, hein ? Il y en a deux d’inscrits avant vous. » — Et elle les nommait. Reconnaissez-vous les petites amies de Paulette, monsieur le journaliste, ces idéales jeunes filles, dont M. Feuillet a dit, dans un accès de franchise, qu’elles tenaient entre elles des conversations à faire rougir un singe ? Revenez à la Sibylle du même M. Feuillet, et voyez, je vous prie, où est la vérité.
Non, non, ce n’est pas le « monde » qui fait le succès de ce qu’on nomme