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Page:Le Goffic - Poésies complètes, 1922.djvu/218

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Et j’ai senti que Rome et la molle Italie
Et Florence, où l’automne est sans mélancolie,
Et Baïes, dont tout cœur d’amant s’extasia,
Dans mon âme d’un soir s’étaient soudain voilées
Et qu’en elle un vaincu des anciennes mêlées
Pleurait encor, pleurait toujours Alésia.