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A MON PÉRE ET A MA MÉRE. LG PETIT MOtJSSB, Ua mère souvent et mon Recteur M’ont dit De vou8 prier de tout mon coenr . £t le soir et le matin. Écoutez-moi, ô Yierge sainte ! Je vous prends pour mère : Uu regard, nn seul, un regard An pauvre petit Monsse. Les petits oiseaux, quaud ilsgrandissent, Sortent de leurs nids. D’abord ils voleut avec crainte ; Leur mère les garde de chute. Ma mère est bien loin, Yierge sainte ; Je vous prends pour mère : Un regard, un seul, un regard Au pauvre petit Mousse. Au moment où j’ai dit adieu A ma pauvre mère, sur la grève : Quand, dit-clle, reviendras-tu ? Et ma pauvre mère pleurait !