Page:Le Joubioux - Doué ha mem bro.djvu/45

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— 41 — • O ma fille, tu ne peux pas comprendre « Quel supplice c’est d’ètre dans le feu ! « Qu’il me tarde d’aller « M’unir avec Dieu au ciet ! « Quand je serai è la maison du Seigneur Dieu, « Pour vous, je prierai ft mon tour, « Pour que vous veniez un jour aussi « L’aimer avec nous dans la véritable patric ! » — Âussitôt, comme un nuage, L’âme bonne disparut. — Dans la félicité est maintenant ■ Cette ftme, avec Dieu son père ! cvfrt-fr-g- H-i-g 8 g’ 8 H g-» g- g- 8 8 8 8 8 8 8 8 8’ 8 8 8 8- 8’ 8 8’ 8 g- fr o A I. HERSART DR LA VILlE-IARftlJÉ. LE TOMttEAU D’tJME MÈBE. Oh ! quel exil, Quand on reste sans mère dans le monde ! Jusqu’ft la mort de sa mère, on ne sait pas encore Combien elle est aimée ! Anna, jeune fille de Plceren, Âvait aussi perdu sa mère ! Ses yeux, comme une source, Âvaient répandu une mer de larmes !