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| CHAPITRE XXVII. | 307 |
- Considère quelle a été la fin de leurs stratagèmes ; nous les avons exterminés, ainsi que toute leur nation.
- Leurs demeures, que vous voyez, sont affaissée dans le sol, parce qu’ils étaient impies, il y a dans ceci un signe pour les hommes qui ont de l’intelligence.
- Nous sauvâmes ceux qui avaient cru et qui craignent Dieu.
- Nous envoyâmes Loth, qui disait à son peuple : commettrez-vous une turpitude ? Vous le savez cependant.
- Aurez-vous par concupiscence charnelle commerce avec des hommes plutôt qu’avec des femmes ? Vous êtes dans l’égarement.
- Et quelle a été là réponse de son peuple ? Ils se dirent entre eux : Chassons la famille de Loth de notre ville ; ce sont des hommes qui veulent faire les chastes.
- Nous sauvâmes ta famille de Loth, à l’exception de la femme, que nous avions destinée à être parmi ceux qui restaient en arrière.
- Nous avons fait pleuvoir une pluie de pierres ; Quelle, fut terrible, la pluie qui tomba sur ces hommes, qu’on avertissait en vain !
- Dis : Louange à Dieu, et paix a ceux d’entre ses serviteurs qu’il a élus ! Qui, de Dieu ou des idoles qu’ils lui associent, mérite la préférence ?
- Celui qui a créé les cieux et la terre, qui vous envoie de l’eau (à l’aide de l’eau, nous produisons pour vous ces riants jardins, car ce n’est pas vous qui faites pousser leurs arbres), est-ce quelque dieu de compagnie avec le Dieu unique ? — Et cependant Ils lui trouvent des égaux !
- Celui qui établit solidement la terre, qui dans son intérieur a tracé des rivières, qui fixa des montagnes, qui éleva entre les deux mers une barrière[1], est-ce quelque dieu de compagnie avec le Dieu unique ? — Et cependant la plupart ne le comprennent pas.
- Celui qui exauce l’opprimé quand il crie vers lui, qui le délivre du malheur, qui vous a établis ses lieutenants sur la terre, est-ce quelque dieu de compagnie avec le Dieu unique ? Oh ! que vous réfléchissez peu !
- Celui qui vous guide à travers les ténèbres de la terre ferme et de la mer, qui envoie les vents précurseurs de sa miséricorde[2],
