Page:Le Nismois, La Tunique de Nessus, 1900.djvu/103

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côté pour mieux voir ; alors, face-à-face avec la queue de son mari, elle s’accouda une seconde sur ses cuisses, la tête penchée en avant, la bouche juste au-dessus de cette queue droite, en pleine érection et lui envoya sur le gland un furtif coup de langue, se recula comme pour la magnétiser, bomba en avant les seins dont la pointe vinrent la heurter.

Revenant au-dessus, elle se tourna vers Olympe, lui montra sa bouche à peine entr’ouverte, avec le sourire étudié et stéréotypé qui l’ornait, se courba sur la queue, les mains derrière le dos, et la queue peu à peu disparut en entier entre ses lèvres. Elle la laissa échapper, regarda sa belle-sœur et dit :

— Nous n’en abuserons pas, ma chérie, pour une fois on peut faire une exception. Elle a du piment dans le sang, ta sœur, je suis heureuse, Stani, de lui apprendre les plaisirs, surtout avec toi.

Elle appuya une joue sur ses cuisses, prit la queue dans sa main, la fit tourbillonner sur le bord de ses lèvres, la gratifiant de quelques baisers et de quelque suçons.

Se redressant ensuite, elle dit :

— En voilà assez sur ce chapitre : tu as vu,