Page:Le Nismois, La Tunique de Nessus, 1900.djvu/202

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XI


Irène les attendait à la gare et ne dissimula pas sa joie en les voyant descendre du train.

Sitôt dans la voiture, elle serra dans ses bras avec grand amour Olympe, en lui disant :

— Ah ! ma jolie cocotte, quel bonheur tu me procures et quelle fête t’en récompensera !

Se tournant vers Gabrielle, qui était assise en face d’elle et à côté de Stanislas, elle l’embrassa de même et susurra :

— Stanislas a été gentil pour toi !

Ce que signifiait la question, Gabrielle le comprit, elle glissa la bouche vers celle de sa sœur et répondit à voix basse :

— Tout à fait gentil.

Irène éprouva un certain étonnement, puis tout d’un coup elle engouffra la main sous les jupes de Gabrielle, arriva au conin à travers le pantalon, le toucha avec un doigt fureteur et s’écria :