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Elle salua gentiment Mohammed et Déculisse qui lui souriaient et, comme Irène revenait avec Gabrielle et Olympe, la présentation se trouva de suite terminée.

L’entr’acte s’imposait. On but, on causa, on pelota.

— Elles sont chouettes vos sœurs, dit Lucie et celle-ci, Irène, tu ne pourrais pas la renier ; c’est tout ton portrait, avec de l’innocence en plus.

— L’innocence se fane vite.

— Heureusement. Est-ce que Stani s’amuse aussi avec sa sœur ?

— Les circonstances l’y ont entraîné.

— Les principes ne vous étouffent pas dans les petits pays. Il doit y avoir en elle de quoi se satisfaire ! Belles, belles fesses ! Je les baiserais volontiers.

Irène riant, cria :

— Olympe ?

— Que veux-tu, Irène ?

— Mon amie Lucie désire te baiser le cul.

— Bon, je ne demande pas mieux, je le lui donne.

Olympe et Lucie se mirent à se gamahucher et Mohammed s’attacha après le couple de Sta-