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IX
Héloïse de Bouttevelle, dans une non moins élégante toilette que Lucie, monta avec son amie et Émile en voiture, et l’on s’éloigna de la capitainerie.
— Maintenant, dit Lucie, il n’y a plus ici que deux amoureuses, désireuses de te donner l’ivresse de volupté et de la partager ; où allons-nous dîner ?
— Si vous voulez, dit Héloïse, nous nous rendrons à un cabaret de Boulogne que j’ai remarqué et où je me suis assuré un cabinet particulier… pour mes fantaisies. Nous y serons libres comme les oiseaux sur la branche.