Aller au contenu

Page:Le Nismois - L’Armée de volupté, 1900.djvu/134

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
— 130 —


pour de si riches trésors, et je m’associerais à ton hommage, si nous étions plus à notre aise qu’ici.

— Tiens, tiens, vois mon cul, baise-le, caresse ou becquette entre mes cuisses, unissez vos langues sur mon petit bouton et je croirai que tu m’aimes encore.

— Si je t’aime, si je t’aime ! Ô le joli cul, le joli cul ! Ah, ton amie, sa languette qui se tend vers la mienne, en travers de tes cuisses, ah, je suis à bout, à bout.

— Attends, attends encore un petit peu.

— Parlez, parlez-moi de ce que vous voudrez, mais distrayez ma pensée.

— Amour, amour, approche par ici, vois ses cuisses, viens avec moi faire frissonner son petit bouton sous l’accord de nos langues, oui, oui, approche bien, vois ce ventre délicat, vois ce nombril ; Héloïse, Héloïse, ne me mords pas les cuisses, je veux qu’il s’incline devant tes beautés ; voilà le bouton, tiens, prends-le dans ta bouche, il est tout mouillé de ma salive.

Derrière la porte, Mélanie Gadaille