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flottant par devant sur chaque épaule, un martinet à la main.

Après les femmes, venaient douze moines dans leur robe religieuse, nouée à la ceinture par une grosse corde, et ensuite, pour terminer cette procession, des sœurs cloîtrées, novices, professeurs, des abbés, des moines, des dames et des messieurs.

Tout ce monde s’installa sur des fauteuils contre les tentures murales des galeries, tout en laissant un espace libre devant le trône où siégeait Marthe.

Des servantes laïques apportèrent six prie-Dieu, et devant ces meubles, six des dames habillées de soie noire se placèrent comme pour prier, tournant le dos à Marthe. Soudain elles se troussèrent et exhibèrent leur cul, cul blanc et rondelet, bijou de chairs jeunes et fraîches, ressortant sous le cadre de la jupe et de riches jupons, par les bas grimpant jusqu’au gras des cuisses, cul qui se tortilla en mille grimaces lascives, et les six femmes nues s’approchant, en choisirent chacune un sur lequel elles passèrent