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lui appliquait une magistrale fessée sur son invitation réitérée.

— Fouette, fouette, Beaurain, marche, mon cher, tes claques me plaisent, puis ça te fout en train et tu baises en enragé.

Soudain, deux jolis pieds féminins saisirent Marthe à la taille, par derrière, l’entraînèrent sur le sol, où elle tomba sur les cuisses largement ouvertes de la sœur Georgette qui, la main sur son clitoris et ses poils, lui dit :

— Je t’enlève au passage, ma belle poulette, fais-moi minettes.

Elle retira la main pour présenter son con si laborieusement travaillé la nuit précédente par Ribourdin et Hilaire ; la Georgette était enragée, et une telle effervescence se dégageait de toute sa personne, que Marthe, le visage collé sur l’entre-cuisses, se hâta d’accorder les minettes sollicitées, pelotant les fesses, les chairs de cette nouvelle conquête.

Raymonde, indécise, suivait le jeu de son amie ; Beaurain l’aperçut, vint à elle, la saisit par un bras, puis l’attira