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Page:Le Nouveau chatouilleur des dames, 1880.djvu/127

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LETTRE VII


Très chère Émilie,


V ous n’ignorez pas que pendant ces deux dernières années, c’est à peine s’il nous a été possible de nous rencontrer, et encore nos rares entrevues n’ont-elles duré que quelques courts instants, de sorte que je n’ai pu trouver l’occasion de me livrer aux jouissances encore plus délicieuses que vous auriez pu me procurer et qui, peut-être, m’eussent détourné de ces voluptés auxquelles je m’adonnais alors avec tant de plaisir.

Pendant quelque temps, je n’ai vu que fort rarement Lady Lovesport. J’ai pensé souvent à tous les incidents de la fessée qu’elle m’avait infligée, et surtout à ces détails dont vous