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Page:Le Nouveau chatouilleur des dames, 1880.djvu/158

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LETTRE VII

emblème de virilité, où quelques boucles rares et peu fournies ornaient ce bel instrument, vierge encore tout à l’heure. Elle se chargea alors de tout le labeur, me disant de rester immobile pendant qu’elle se remuait sur mon arme raidie, la pressant et la chatouillant avec des torsions de son splendide fessier. C’est alors que je crus devenir fou de volupté et de lascifs désirs !

Après que notre conjonction se fut effectuée, nous nous livrâmes à des mouvements lents et doux, répétés mille fois, avec un léger temps d’arrêt, et accompagnés de brûlants baisers sur la bouche et sur le sein. Elle se souleva de nouveau, tout en gardant le captif dans sa douce prison et se mit à califourchon sur moi, contemplant avec admiration mon visage empourpré et qui resplendissait des feux de la volupté. Les lèvres charnues de son vagin charmant serraient et comprimaient dans leurs replis veloutés le captif enchanté, avec des effets si ravissants que je ne savais au juste laquelle des deux positions me procurait le plus de plaisir. Elle changea ainsi de posture deux ou trois fois, se complaisant dans les sensations agréables que notre tendre union et son badinage lascif nous procuraient à tous deux. Enfin le moment arriva où je ne pus contenir plus longtemps mes furieux désirs.

Pendant qu’elle retombait de nouveau sur ma poitrine, je l’enlaçai de mes bras et me