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Que tes paillards les plus lubriques,
Ayent leur vit long comme picques
D’vn fin acier, trenchant aigu,
Tranſperçant comme des aiguilles,
Pour te rompre des ſpopondrilles,
Et les nerfs qui bandent ton cu.

Mes beaux ſouhaits ne ſeroiẽt fables
Mais ie ſçay bien que tous les Diables
De l’emporter font du refu,
Craignant d’auoir la chaudepiſſe
Diſant qu’ils ont ſans le ſurplus
Aſſez de feuz au poil du cu.

FIN.