en France, offrent les meilleures conditions de bien-être et d’harmonie à tous les intéressés : une enquête à ce sujet fut menée à bonne fin en deux mois, et elle permit alors de résoudre nettement une importante question sociale. Enfin, en 1867, sur la proposition de la Commission impériale de l’Exposition, approuvée par un décret de l’Empereur, la même enquête a été renouvelée chez toutes les nations représentées à ce grand concours. Les établissements classés au premier rang par le jury international ont reçu des mains de l’Empereur, le 1er juillet 1867, les plus hautes récompenses qui eussent été décernées jusqu’à ce jour dans les expositions universelles (Q).
Les institutions publiques et privées se touchent par une foule de points. D’ailleurs, comme je l’ai indiqué ci-dessus (§ 61), la question des procédés de gouvernement viendra toujours, en France, compliquer la réforme du travail et des institutions privées. Il sera donc nécessaire que l’étude comparée de ces procédés complète celles qui ont fait l’objet des enquêtes indiquées ci-dessus. Ayant exposé ailleurs le résultat de mes propres recherches[1], je me borne à rappeler ici les localités qui m’ont paru
- ↑ La Réforme sociale, chap. VII : le Gouvernement, t. III, p.1 à 513.