et de la Manche, populations guidées par un juste mélange de tradition et de nouveauté, dont le bien-être provient de trois influences principales : le décalogue éternel, la famille-souche et les productions spontanées du sol et des eaux. Voici les monographies de cette région contenues dans ce troisième tome :
La troisième et dernière région sociale de l’Europe est l’Occident ; elle ne présente pas l’unité de constitution que l’on trouve dans les deux premières : on y rencontre des populations parmi lesquelles le bien domine encore ; d’autres où les progrès du mal sont arrivés jusqu’à établir, avec le bien, une sorte d’équilibre ; d’autres enfin où la prédominance du mal déchaîne de cruelles souffrances. Aussi les monographies des familles de l’Occident sont-elles classées en trois séries, qui remplissent comme il suit les tomes IV, V et VI :
Tome IV. — Les ouvriers de l’Occident. — 1re série : populations stables, fidèles à la tradition devant les envahissements de la nouveauté, soumises au décalogue et à l’autorité paternelle, suppléant à la rareté