Page:Le Roman du Renart, supplément, 1835.djvu/119

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

Je non, par le ber saint Liénart ! (98-14, 7607-5, 1980.)


Vers 1831 :

Pour cinc cens libres de Bernars. (195 B.)


Vers 2853-57 :

Ce poise moi, par saint Amant,
Que la moie queue est si grant ;
Ge voldroie qu’el’ fust copée.[1] (7607-5, 1980.)


Vers 2861-64 :

Droit jou et vous au gelinier,
Là où li chapon vont nigier ;
Car foi que je doi saint Richier,
Je voel que aiés à mengier. (195 B.)


Vers 2867-68 :

Si s’adrescent vers les chapons ;
Tout belement et tout embrons.[2](7607-5, 1980.)


Vers 2868 :

Qu’autre chose ne vont querant. (98-14.)


Vers 2878-93 :

Qui est et bon et gras et grant ;
Car les gelines, par mon front,
Trestoutes escouées sont ;
Tout ce te di-ge bien pour voir. (7607-5, 1980.)


  1. Que faisons-nous, dit-il, de ce poids inutile,
    Et qui va balayant tous les sentiers fangeux ?
    Que nous sert cette queue ? IL faut qU’on se la coupe.
    La Fontaine, Fables ; liv. 5, fab. 5.
  2. Embrons, tête baissée.