Page:Le Roman du Renart, 1826, tome 4.djvu/352

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Si li faisoit-on des bontés
Pour l’enfant souvent et assés.
Or pierdoit tout, ce li sanloit,
Pour çou que point de lait n’avoit :
Le nourice forment anuie,
En son ostel ot une truiwe
Ki de nouviel ot pourcelé,
Le nourice a à çou visé
Ke de ce lait bien nouriroit
5210L’enfant, et jà tost le saroit.
L’enfant à le truie assaia,
Li enfés le truie alaita.