Page:Le Roman du Renart, supplément, 1835.djvu/171

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Onques de l’errer ne finèrent
Tant que il vinrent à la Cort ;
Or cuic qu’Ysengrins tenra cort.(7607-5, 68 C., 195 B., 195 C., 1980.)


Dans le ms. 98-14, les sept premiers vers de cette variante sont suivis de ceux-ci :

A l’ostel vint, si se repose :
Sa femme prist è ramprosner,
Et de Renart à reprover.
Hai ! fait-il, pute chaitive,
Moult est grans duelz quant estes vive.


Après le vers 8220, ajouter les deux suivants, qui terminent la branche :

Et le conciliera par gile,
Quant li fera mangier l’angile. (68 C.)