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Page:Le Roman du Renart, supplément, 1835.djvu/227

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Je nou vous quéisse noier ;
Mais certes moult joians en fusse. (98-14.)


Vers 16625-27 :

Que hons, puis qu’il se met en moi,
Certes, moult volentiers le poi
Con mon ami ; et je si fusse. (7607.)


Vers 16631 :

Ainsi puissé-je à Dieu plaire.
 (98-14.)


Vers 16663-68 :

Par bourdes me eeulz conchier,
Mais nou feras, par sainct Richier !


Vers 16689-94 :

Tuit foul si puéent menachier ;
Mais je ne vous pris un denier.
A vous ne quier trives ne pais ;
Faites-en pis que vous porrois.
Sui-je chas à espanther ?
Trop vous poés ore venter.


Vers 16701-16 :

N’ai paour, ne doubte de toy ;
J’ai de telz chiens, si con je croy.
Que parles-tu si aigrement ?
Se tu viens en mon chasement. (98-14.)


Vers 16707-12 :

Qui parolent si aigrement
Qui aient guères hardement. (7607-5.)


Vers 16726-27 :

Je te commans à maufez hui,
Qui te puissent contralier. (98-14, 7607.)