Page:Le Sérail royal ou les voluptés secrètes d’un débauché - La Belle Letty, 1892.djvu/109

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palpait, les pressait pendant que ses lèvres suçaient et tiraient les boutons. En bas, c’était la grotte mousseuse qui l’intéressait. Ces poils d’ébène entre lesquels apparaissaient les lèvres de corail de mon petit con le ravissaient. Ses doigts s’y perdaient, me chatouillant, me donnant des envies irrésistibles.

— Letty, ma Letty, que tu es belle !… et que je suis fier et heureux de posséder toutes ces beautés, tous ces trésors, car tu es à moi, n’est-ce pas ? tu m’as tout donné !…

— Oui, chéri, je t’ai tout donné, cœur, âme et corps, tu as tout !… Et toi n’es-tu pas tout à moi, aussi ?… Est-ce bien vrai que j’ai eu ton pucelage ?… que le premier foutre qui est sorti de tes couilles à été pour mon con, le con chaud de ta petite femme, de ta fouteuse ?… Car je veux être ta fouteuse ; je veux te foutre, mon fouteur. Entends-tu ?… Tu bandes, ton vit est beau, long, dur, provoquant ; il est à moi, je le veux.

Je le fis coucher sur le lit. Je montai à cheval sur lui en m’enfonçant son dard menaçant, je le foutis et nous déchargeâmes ensemble.

La position m’ayant un peu fatiguée, je m’étendis à son côté ; mais lui, d’un bond se renversa sur mon corps et m’enfila jusqu’à la garde.

Je fus enchantée de sa témérité parce que