Page:Le Sérail royal ou les voluptés secrètes d’un débauché - La Belle Letty, 1892.djvu/195

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— Oh ! c’est cochon tout plein !…

« C’était quelques jours avant d’avoir rencontré mimi chéri, nous étions déjà dans la salle d’attente, lorsqu’une dame, avec deux messieurs, entra. L’un était son mari et l’autre son amant.

» Elle choisit trois filles, (j’étais une des trois) et nous nous retirâmes dans la grande chambre déjà toute éclairée. La dame nous fit mettre toutes nues. Elle se déshabilla elle-même et déshabilla ses deux hommes. Le mari s’étendit sur le lit et la dame lui prit le vit qu’elle agitait avec force.

» Une des filles fut placée de l’autre côté du lit en lui recommandant de sucer ce membre pendant qu’elle le branlerait. L’autre fille se mit à genoux entre les jambes de la dame prête à la gamahucher, et l’amant qui se trouvait derrière sa maîtresse, enfila ce beau cul qui lui était destiné.

» Quant à moi, la dame me pria d’engueuler son mari aux premiers signes de jouissance qu’il éprouverait.

» Tout se passa comme la dame l’avait prévu.

» Après la décharge, l’amant prit la place du mari et fut traité de même.

» Pour nous reposer on nous servit des liqueurs.

» Ensuite la dame voulut être foutue et enculée en même temps, et pour terminer