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Page:Le Sérail royal ou les voluptés secrètes d’un débauché - La Belle Letty, 1892.djvu/46

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pas ? et moi aussi ; nous ferons l’amour toute la nuit, nous jouirons ensemble et en même temps. Quand son père et ma sœur nous aperçurent, ils jetèrent un cri d’exclamation. Ont-ils des yeux cochons, ces polissons ?…

Il paraît que la première leçon a été bonne, que sera la seconde ?… La seconde fut meilleure, car dès que nous fûmes dans la chambre tous nos vêtements disparurent et j’eus encore la satisfaction de voir un homme tout nu. Cet homme était celui que j’aimais, celui qui m’avait dépucelée. Je le touchais, je considérais toutes ses parties avec plaisir.

Ce qui m’intéressa le plus, après le vit, qui était devenu superbe devant ma nudité, ce furent les couilles qui se balançaient à chaque mouvement que faisait le membre. Je les maniai dans tous les sens, je les embrassai, je les léchai ; et puis je voulus les placer entre mes petits tétons. Dieu que c’était beau à voir !… J’aimais tellement cette jolie saleté que toutes les fois que nous couchions ensemble, nous commencions toujours par là. Une fois déshabillée, étendue sur le lit, il montait à cheval sur moi, posait son paquet sur ma gorge et le frottait sur ma chair. Quand j’avais bien joui du coup d’œil, il avançait son membre ; je lui donnais un coup de langue et puis il me l’enfonçait dans le