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mes jambes, attendant que je me baisse tant soit peu pour m’enfiler en levrette. Lorsque je préparais le déjeûner il était encore derrière moi, me tenant par les tétons et son membre entre les cuisses. À table, je me mettais à cheval sur lui, son vit dans le con. Après le déjeûner, le lit nous recevait. Il montait sur moi, me foutait une ou deux fois, nous déchargions avec plaisir et nous nous endormions ensuite ; c’était les seules heures de repos que nous prenions pour réparer nos forces ; car la nuit nous étions trop occupés à nous caresser pour penser à autre chose. En effet nous trouvions qu’à la clarté des lumières et à travers les glaces, notre nudité paraissait plus resplendissante ; elle nous rendait plus polissons, plus cochons. C’est dans ces moments qu’il me disait : — Allons, petite cochonne, fais la salope !…

Faire la salope, c’était lui sucer le vit. Il s’allongeait sur le dos, je me mettais entre ses cuisses et je le tétais. À travers la glace il voyait tout mon corps, mes petits tétons qui grossissaient à vue d’œil, et son membre qui apparaissait puis disparaissait dans ma bouche. Il aimait à me donner son foutre ainsi. Quand j’avais bien bu, je devais prendre sa place. Il me gamahuchait et me faisait décharger à coups de langue.

Souvent, avant de nous lever, il posait