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POESIES DES POETES DU D.UTIIIXE 121 Vint enfermer en un tombeau Ses bords, sa nappe diaphane. Depuis, nul œil ne voit ses flots, Pourtant l'oreille peut entendre Qu'elle a changé son babil tendre En gémissements, en sanglots. Jean SARRAZIN.