Page:Le Sylphe - Poésies des poètes du Dauphiné, tome 1, 1887.djvu/209

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REVUE DES ÉCRIVAINS DAUPHINOIS vons ceux qui s'adonnent à la littérature et à la poésie pour l'amour de l'art, et qui, au rebours de quelques autres dont nous parlerons peut-être un autre jour, ne veulent pas faire de la décentralisation littéraire une simple et vulgaire centralisation financière. Le Dauphiné de Mme Louise Drevet vient, lui aussi, nous sou haiter la bienvenue à notre naissance. Nous le remercions fort de cette délicate attention, et nous sommes tout heureux et tout fiers d'avoir à nos côtés un ami aussi bienveillant. Nous ne saurions terminer cette causerie sur les différentes revues, nos voisines et nos amies, sans jeter un coup d'œil sur L'Union des Instituteurs, de Grenoble, qui, elle aussi, nous a fait part de ses vœux et de ses souhaits. C'est un brave journal, pédagogique avant tout — qui n'est pas littéraire — mais qui lutte vaillamment pour sa cause et la défense de ses droits. Maintenant. . . si le mois prochain m'apporte quelque chose de nouveau, et d'intéressant surtout, je vous promets, amis lecteurs et « gentes » lectrices, de vous en faire part. Grenoble, 20 janvier 1887. C. NIEMAND.