Page:Le Sylphe - Poésies des poètes du Dauphiné, tome 6, 1892.djvu/193

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Pour songer, pour pleurer, attends la nuit immense :
Les hommes t’enverraient leur sourire moqueur…
Bois, orgueilleux et seul, tes larmes en silence,
L’amour viendra dans l’ombre en soulager ton cœur !

1887