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heur qui lui est réservé, se désole
et emploie en vain tous les
moyens de séduction.
Plusieurs jours se passent dans une lutte et des combats dont Sophie sort toujours victorieuse et triomphante.
Un jour, plus décidé que jamais à terminer sa romanesque aventure, Derville vole chez Sophie.
Joséphine, la suivante la plus adroite, le reçoit et l’engage à attendre le réveil de sa maîtresse, qu’une cruelle migraine a retenue prisonnière dans son boudoir.
Derville obéit ; mais à peine a-t-il attendu pendant quelques instans dans une pièce voisine de l’asile de paix et d’amour où repose Sophie, qu’il entend prononcer son nom avec l’extâse du délire et de la volupté ; il écoute,
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