VULCA1N.
Puiffc.tu dans mon ame attendrie ’
Faire’ regner l’incrcdulité !
,1
’J111c&bu : f4it embrAjfar VulcAin & VtnllS, & l,1
f11it ,,b,ir, tous tieux ti11ns le m,fme ’VtrTt,
PLUTC)N ch11nte.
~y q11’wi gros Chien garde teujours_
ma porte,
,
Je ne crois pas ma femme en fenreré :
Mais quand j’ay heu, j’ay la tcftc û forte, ,
· ~ je fuis feur de fa fidclité.
.
VULCAIN. . . .
Pour 01 !blicr les armes que tu Porte,
Tu boiras donc tout le fleuve Leté’, :
.
BACCHUSch11nre.
.
PuiCque le vin t’a rendu raifonn.ablc ~
Il fout _bannir tous les foup~ons jaloux.
Vos démeflcz fe vuic !cront a table : ··
l’ourles reg1er, je vais boire avec vous.
VENU S ch :inte.
.· Grace au_ bon vin, tu ,tois que je (uïs fage ;
Maudit çe !uy qui te détrompera !
S’il_te revient quelqma fâcheux prffagc ,
Va chC7 Bacchus , il me jufüfiera. .
.
VbLCA1N chante.
Tc :voila donc Venus jullifiéc !
Il faut finir, notre titre cft entier.
On blanchiroit l’Epiciere accu[Jc :,
Si l’on pouvoit c :nyvrcr l’Epiciet. ·’
Fill J, 1,,, C,meâie.
, ..,Coogle
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Les Adieux des Officiers.