fortune’{, Entr~prife. ~V-. ’Pour luy donner mon voutdir. · LE BER GER ; ~ipeuteftretant Tartare ; V oy11nt ci : q1tî eft fi rare ; Et n’en_feroit point tenté, Et qui feroit ft farouché,
!l. !!, ;.’fuand cet 11ttraiéé l•attOJtcht J
,N’enferait point arrefté ! .
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L A B E R G E RE-.·,, Toute belle a~e quitlyme, .
M erite vit p1r,reilJoncy ; . On /11, doit cherir de mef,nt’ ; J’11yme mon parfait du/fi. LE BERGER.· Ceux dont /11, viemefchante Ne fent /11 doucéur q11i11nte, Ler tendres 11-Jfeéfions ; Indignes du nom qu’ilspor-tent Ne cognoijfent ce qu•apportent Nos belles imprejfions. · LA BERG ERE. f.,4 beauté de cefte vie La grace de noffre h0nne11r Eft deJe ttouùer ra1eie · · D’rne cl,aritable arde1tr. LE BERGER. Tous ceux q11i ont/’ame do11c1 fit dont le po1,lmon rcpouffe V n ,be11u fouJPir rado11,y ; Dont le cœ11r n’eft po11r Jôy-mifmd Dignes que le Ciel les ay1ne, Sont dign,s de çefo11cy. B Bb ij
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