désirs. Elle m’entraîna sur elle, et je l’enconnai. Ah ! cher abbé ! quelle pénible corvée, que celle de foutre un con si vieux, si large, et usé par de continuelles jouissances !
Quoi qu’il en soit, j’en fis le sacrifice ; mais il me fut impossible de recommencer ; je retirai mon vit de sa conasse, mol et paraissant honteux d’avoir osé pénétrer dans ce gouffre infernal : ni caresses, ni maniement ne purent me faire bander davantage : en vain me chatouillait-elle les couilles de ses doigts décharnés, en vain m’introduisait-elle le postillon dans l’anus ; rien, mon ami, rien ; je demeurai froid comme un marbre.
Mais laissons cette matière. Que fait Kakvelle à Paris ? Puis-je conter sur sa constance ? Je t’ai engagé à veiller sur sa conduite. Parle-moi sans détour, et dis-moi à quoi je dois m’en tenir.
RÉPONSE
de l’abbé Renaud à l’abbé Jacob
Je te plains, mon pauvre abbé ; ah ! je te plains de tout mon cœur, d’être obligé de travailler sans cesse à réparer les fortifications de ta vieille citadelle démolie ; je ne puis m’empêcher de rire de la description des appas que tu fais de la Blondel, ton