Aller au contenu

Page:Le dernier des Trencavels 3 Reboul Henri.djvu/219

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.
210
NOTES

(25) Conrad d’Arsperg, et Boss., id. ibid., §. 83.

(26) Leurs mœurs, dit St.-Bernard, sont irréprochables ; ils ne font de tort à personne ; leurs visages sont mortifiés et abattus par le jeûne ; ils ne mangent point leur pain comme des paresseux, et travaillent pour gagner leur vie.

Bern., Sermon 65 ; et Boss., variat., §. 143.

Les miracles que fit St.-Bernard pour convertir les albigeois étaient, dit Bossuet, plus éclatans que le soleil ; Id. ibid., §. 35, et cependant ils demeurèrent sans résultat.

(27) Cet argument est de Bossuet.

Variat., §. 143.

(28) Ainsi raisonnait St.-Bernard, qui, dit Bossuet, était trop instruit dans les profondeurs de Satan, pour ignorer que cet esprit malin, savait faire imiter jusqu’au martyre. Ne nous étonnons donc plus, ajoute l’évêque de Meaux, de voir de martyrs de toutes les religions, et même dans les plus monstrueuses.

Id. ibid., §. 248.

(29) L’annaliste Enervin met ces paroles dans la bouche des hérétiques albigeois.

Bossuet, variat., l. 11, §. 58.