Page:Le dictionnaire de l'Academie françoise, 1835, T1, A-H.djvu/1013

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

HOU HOUPER.T.».(H«’pi") Chaue. Appeler ton compBEin Uonri, ù. participe. HOllPPK. i. f (H l’aspire, sembla^ de piuiÏBUTï Ëicta t ■ai«re àForo bomut atrré.La houppt d’ La houppt A’m hoMpp* rfun. «infar h<mpp«» a dstchtvau. W/n« houppe à poud En H- Houppe dt poUi LenB graine V4i ru nttiouppedepoiU, d’ie. Petili mimelcini nerveuT nSpaudui dans teUHudelapeau. HOUPPELANDE. .,f.(Hi’a«pire.) Sorte de Téument larj-e qui w met par-denut l’habit. Houppelande gril». Hovppelandt de groi drap. HOUPPER. ï. «. (H saspire.) Faire de> bouppea. MmpptT de la loin», La peigner. Hourri, il. participe. Ed BotiD., Grain» Houppie, Grai- ne lurmonùe d’une houppe de noîli. HOURA. ■. m. rog" Horaa.. HOCRAILLER. .. n. (Hs-a.pirc.) T. de Chuic. ChaueraiBO dei hou- HOURAILLIS. s. m. ( n s’aspire. ) T. de Chaise. Meule de mauvais ng de cl VfiriMinai;e RTOHier de moolloDs on de plairas. On dit au>u. ffourdh. il signifie écalemeot, La première • couche de gros plâtre qu’on mcl sur HOURDEB. Y. ». [ H s’aspire, ) Waçonner nrossiàrement, faire un hourdaje. Hourder une eloiion. HoDHiii, il. participe. Uneehuon ^ourdie. IIOURDIS. t. m. (H l’aspipe.) f^oyez HOU.D-" HOUBliT. 1

1 " -, HOUBliT. >.m. (H g’aipire. ) On

.j I ’^; appelle ainsi UomauT«i>pelil chien I -f^^ tie chUK. 1 1 n’avait pour Mem de , I a»* ’ ckana que irait ou quatre bourati /^,— galeux. i<~’ UOURl.s. f. (Hs’aspire.) Nom ’ ii^’ ^ ^moict qui doivenl conlrihiier «m F r4^^^ * niaisin des élu>, daDile paradis (le / i-»^ Sl«fcomet. -,*’*• ■ HOUBQtlE. 1, f. (H l’aspire.) «loiitieni par mépris le nom ae Aour- ^ua t tout navire qui est mal con- struit el qui ne marche pas bien. UOCRKA. s. m. (H s’asuire. Pla- tieiirs ëcriicnl, Houra. ) Cri de joie <jDe pouisenllei marina anglais, en ’^ Houaai.aediiBussideL’BtiiKiu. imprévue que font des Ironnei m- discipliDé«>, ou lies treupes légères des Cosaifuei. des iiosunls, etc. pour Un grand bruit , un grand tu- multe. Jli/aeu là un étrange Aaur- IIOUSARD. s. m. ( H s’aspire. } llOUi^Ë, EE. ailj. (Hs’aipire.) Crottd, mouiHtS. lien arrivé tout heiiié. Crolli, houti. Il est vieux. HOUSEACX.i. m.pl.(IIs’atpire.) Sorte de chauuure de jambes centre la pluis et la crotte , comme sont tei gn£tre>, etc. Il est vieux, et ne s’emiiloie que dans cette phrase wo- verbiale et fiffurée, JLii’»er f » AoEf- ’«aiir quelque part , Y mourir. HOUSPILLEK. n’a. { li s;aspire. ) le maltraiter, pour fc tourmenter. Il eti loujoure <t le houipiller. Il signilie Bgurtmcnt, Maltraiter quelqu’un de paroles , le critiquer , malice. Jf s éli bien hmapitli, on l’a bien houtpUU data ce denier pamphlet. Il s’emploie aussi avec le pronom peruinnel, comme verbe rC-cîprogue, tant au propre qu’au figure. Ili le houipillirint Cu» faulre. Il, ,çnl conlinutllemtntà te h aaipitler dant HOUSSAIE. s. f. ( n s’a'pire.) Lieu où il croit qittintilc de houi. HOtlSSAttD. <. m. (H s’atpire. ) r»„«Hi.s.sao. Mousse. s.r. (H s’aspire.) Sorte do couverture " .... ■elle d’un chsv ouiie brodée , e de pied, c Houiie traînant! dor et d’ar-

i Houtte en

oupc du ehc- n descendent loussedechc- pnr les cittcs. Vn cheval couvert d’uni hoiuie traînante. Dam let cirémome, de deuil , on couvre let chivaux de carroiie et let chevaux d* telle de heutiei de drap noir Housss.UdltBnssibescouTerta- ret d’ctolfo Mnlrc dont on te lert pour couvrir les meubles de priï, Houue de lit. Houtte de fauteuil, de canapé . etc. Houtte de carroite , Couverture de velours ou d’écarlate dont les HoDUE, HBnifie i^gnlpment, La Houiie en broderie. Houeri àfran.

HOUSSER. v. a. (H s'aspire.) Nettoyer avec un houssoir. Housser une tapisserie. Housser des meubles.


Absolument, A-t-on balayé, houssé partout ?

Houssé, ée. participe.

Il se dit, en termes de Blason, D'un cheval qui a sa housse.

HOUSSINE. s. f. (H s'aspire.) Verge, baguette de houx ou d'autre arbre, dont on se sert pour faire aller un cheval, ou pour battre des habits, des meubles, etc. Donner un coup de houssine à un cheval. Il n'avait qu'une houssine. Batte un habit, un tapis avec une houssine.

HOUSSINER. v. a. (H s'aspire.) Battre avec une houssine. Faire houssiner ses habits.

Il signifie, figurément et familièrement, Battre quelqu'un avec violence. Il a été houssiné. Je le houssinerai si bien, que...

Houssiné, ée. participe.

HOUSSOIR. s. m. (H s'aspire.) Balai de houx ou d'autre branchage, et le plus souvent de plumes. Donnez un coup de houssoir à ce tapis.

HOUSSON. s. m. (H s'aspire.) Voyez l'article suivant.

HOUX. s. m. (H s'aspire.) Arbre toujours vert, dont les feuilles sont luisantes et armées de piquants, et dont le fruit est une baie d'un très-beau rouge. Les houx viennent dans les bois, dans les haies. Planter des houx dans un jardin. Tailler un houx en pyramide.

Houx panaché, Espèce de houx dont la feuille est vergetée de jaune.

Houx-frelon, Petit houx, et Housson, Sous-arbrisseau dont les feuilles, toujours vertes, sont semblables à celles du myrte, pointues et piquantes, et dont les racines passent pour diurétiques et apéritives. Le houx-frelon croît ordinairement dans les bois.

HOY

HOYAU. s. m. (H s'aspire.) Sorte de houe à deux fourchons, qui sert à fouir la terre.

HUA

HUARD. s. m. (H s'aspire.) Nom d'oiseau, synonyme d' Aigle de mer ou Orfraie.

HUB

HUBLOT. s. m. (H s'aspire.) T. de Marine. Petit sabord, petite ouverture carrée qu'on perce dans la muraille d'un vaisseau, pour donner du jour et de l'air à l'entre-pont.

HUC

HUCHE. s. f. (H s'aspire.) Grand coffre de bois, dont on se sert principalement pour y pétrir le pain, et pour le serrer. La huche au pain. Pétrir du pain dans la huche.

La huche d'un moulin, Le coffre où tombe la farine.

HUCHER. v. a. (H s'aspire.) Appeler à haute voix ou en sifflant. Il est vieux, et n'est plus guère usité qu'à la chasse.

Huché, ée. participe.

HUCHET. s. m. (H s'aspire.) Cornet