Page:Le dragon blesse Croisset Francis 1936.djvu/166

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— Moi ? Qu’est-ce que j’ai fait ?

— Vous avez dit que vous sacrifieriez les saules du jardin et, sans vous arrêter, vous avez passé devant cette table de marbre avec un regard méprisant.

— Et alors ?

— Mais, malheureuse, le petit parc est un tombeau et la table est l’autel des ancêtres !

Geraldine me regarda, une lueur de désespoir dans ses yeux agrandis :

— Décidément, soupira-t-elle, je n’ai pas de chance avec les morts.