Page:Le dragon blesse Croisset Francis 1936.djvu/74

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s’offrir. Elle traversa le hall où on la saluait à une table sur deux. Elle répondait par une légère inclinaison de tête et un sourire qui avait quinze ans. Un couple d’Anglais l’attendait.

— Dites son âge, vite, sans réfléchir.

— Vingt-cinq ans.

— Quarante-deux. Elle est grand’mère. Sa fille a épousé un prince mandchou. C’est d’ailleurs à Pékin qu’elle habite. Mais vous n’avez rien vu, c’est ce soir que vous aurez lieu d’être stupéfait.