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ltle', lù-lle seigle, ailleurs les, harieots,.pois, yçsclzs,, '


reves, etc ' A - - - _ 'Dnns lcs’rnomenlsded elle, l, se rejette sur racines, sur lesëhcl’hes. ll luit aussi la elinsse, solll’is, v’lau ; mulets, e’t n epnr pro espdee. nEnvnnrciI eus, l’aulèïrqncçglr’e entre hnmslersœst un duel, duel ri meri, dontle veineu iournit un 1mn repas ou ruinquuur et l’lÉSnyfumfllc ‘ Du reste,‘_ un o pu dire ov ’ _ _ estznqstile d tout ce qui existe. ll est d n. courugo toute épreuve ; il nttaque tous les aniinnurg, quelle que suit leur taille ; l’homme’lui-meme ne le init que lentement et nun_suns’qu’il erprinre pnr un s eris son impuissante ‘ul’uux’e ‘ ’ ‘ st rien de plus comique que devoir ünrllnms— ter en presenee d’un_cllitzn. À la vue de son redou— tnhle ennèmi, ;le belliqueux petit unirnul se pr’epore de suite au combat ; il ride ses hujmlcs, se dresse sur ses pnttes‘ de' der re et pousse deseris oigus. dLes elriens, en.genernl, redoutentiort ses crues aedris qui l’on’t du prorunde’slelessures, et lorsqu’ils se deeident d l’uttnquer ; ils lui iont, l’honneur de le traiter comme-un loup « ils le prennent pur derrière »Le hamster ’se nourrit essentiellement de groins ; nussi est—il, eonnu e’n dl, megne et en Russie sous le nom de rut dumle et chdn, dll seigle, _ Vers, larmilieu .ele l’automne, il s’enierrne dnns sunïturrier, dont ilvhouene' hermétiquement 'lou- tes-les auvel’tlli’câ.,ll ne passe plus olors 'soll' temps qu’à’ manger et d dormir et devient. t’rds-grus. Qllnnd’le iruid urrive, il-se pelotonner. dans lu mousse et tumleerduns uù surnineil lettrqrgique, qui dure tont l’niver. Cette rae\rlle lui n lait uussi donner

lu nomptlc murmotte d’Allemngne. V '











surprendre son ennemi. Quelques coups de lrecne ln livreql’lc’hamçlçl : et lontë'sn’frtmille, uiusi que le’s 20 'au _aa kilogremmesjde' grains, reste ele l’eppro visionnement. ll u peureompensntiondu groin dejd_ dévore les iu' rl’urçs des petits inulruileurs. I ue le lrnrnster‘ multiplie uvec ' qu’un couple’peul produire n-quoronte petits, on voit que





d dans une ennee jus

l ‘1‘"

- l’agriculture a en lui nn ennemi vraiment serions V -0n rapporte qu’à une eertnine epoque ; ces '



que dunseun séul distn v eeux pour lesquels lu prime rut pnyec elcvu li’ll’enlc ‘milleÿ. '  » ' l

lllinut espdrerquel’onne.donnerupns à cc,flé u le tern’ps de ;s’élablirmn’Lnrl’niné,,rli de se répand e pu 'nous. Laissonslemunopoledcs 1mm, tur’s à ceux"qu’nous’lès ont nppo ' _eoutreuotre_g




e meme pus sa pro-, Ï


Ïprurit dans toutes les longues connues ; l’eelro ro .. 4 uppo_rtnit.des brib’e‘s’de tron'çuis, d’nnglnis, d’elle

Î LE JOURNAL DE, Ll-\ JEUNESSE.

L’EXPOSITION ï'INTERNATIÜNALE

DE VIENNE I

.' ll ÿ

» Le tii avril dernierp les bdlirnenls de l’I-lspesiliou

de Vienne, quoique termines duns leur gros œil »

vre,‘ se rnontruient ene’ere’unveloppés 'd’ulle telle

luretd’ichuiuudages, que l’on puuvnit se demander

s’il no l’endroit pas encore plusieurs mois uvnnt du

les mettre en etnt de recevoir les rnnrelrnntlises qui v oiiluuient deju de toutes. ports '

Et Depnnl’lnnlpil ne restait plus que quinze jours nux entrepreneurs pour livrer leur ouvrnge, cnr lu eommissiou impériale avait rixe définitivement l’inuu- gurntion nu 1" mai, et elle tenuil. dnc, pqs désnpv pointer le publie européen oueouru pour assisier il cette solennité. _ \ “

Aussi ces derniers qu' zejours ont—ils l’eut marqués par une fiévrcuse ne Pèlldnnl. que des milliers d’ouvriers iuisuinnt dispur-uitre tous les eohoinulln-


ges, metluient le dernière main uux toitures’et aux

inendes, posaienteu sommutde lu coupole l’immense lunterne de fer qui lu couronne nlljonrd’hui, un nom. bre nun moins considérable était. occupe u disposer

d’intérieur des sallps, ù décnrer les urines et les c0 »

louues, ;.\ préparer les mille petits mogn’sins oii doi— l’enls’étnlcrrlcs produits ele toutes les purties du

.monde.

iLa’nm’lxlles snll’es presentrient,'du reste, le speeln. ele d’une indescriptible eonlusion. Les marchandises s’enlnssnient en montagnes,‘oaisses sur enisses, bal- lets sur hallots ; Des employés’déhnllniçni les pro- duits, les’rongeuient, les plaenient. Lrsvoules re.

tentissuient du lirnit incessnnt ces mitrleaux et du

grinceman des scies. On llui’nil. cru assister ù In

’eunstruetiop d’une nouvelle lour' de nabel, enr celle

multitude de trarnilleurs s’adressait et s’aposlro.


mnnd, de russe, de japonais. Et eepenelnntnu miliru de ee tumulte, de ee désordre uppurent, l’ordre se roisuit ru idement el, vdès le soir du 29 nl’l'il, il elnit erle de voir que rien ne s’opposerait plus d l’illnus kuration pqutéltpnul’lè‘l" mni. ;v A , .‘A Vienne morne, ln ;pupulation_loul entiers a ete v ie’d’l u re pendent ce’s iluillzcjnprsl De tous -s, on' qul’mlllnitrhcüvkménl pourjtout' prepnrrr en ruerlelu prochaine orriree de 1a [dole de risileurs’






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I 's rle’s Virnnois ent ils_vonl loge tout “ce inonde a e 'sufllsmlcc des” Mile . _T_ous eerir fqui, posse _nt vos. appariements-arum plll’sîcul’s

. l. Sima. — V014 NM Ml