Page:Le journal de la jeunesse Volume I, 1873.djvu/386

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

LES DÉBUTS

D'UN JEUNE HOMME DANS LE MONDE 1

______


Si, au lieu de vous faire place au cotillon,on vous donne simplement les patatines a garder, prenez une physionomie satisfait, faites consciencieusemente le chevalier de la triste figure.

Ne marquez aucun mécontentement si l'on s'obstine a vous aHut'h'r toujours ()c)a~t'oss~h' an cotillon.

Si les ypux vous pcsfnt, f't que vous ressentie unf f<))t(~ oni~ de dormir ~ct's les ~'ois hpures du matin, an'achcz-Yous de tftnps pn tonps un chpvt'u j'om vous rcYciUpr.

Si la maitt't'ssf ()o tn.iisnn vous jx'if <)~ reconduircsaLa))tt',uncYi('in<'d<'tunis(L')hjt)id~)n~u)' <.Suite ~tru).–V~yp!);.<.s3t7.~3't.

au Marais, pendant qu~~ous-t))ctndt')))t'n't'x.)H\ Champs-Ehsefs, faites t'nsnrte<)Ut'~otx')'h\siunotnit'nfrcf)(t<juI)')ns)).n'f:))t('nnt))h'mo))t.

un bon cocher, et de ne pas mettre les pieds dans le ruisseau.

Faites monter avec soin la vieille demoiselle, et si (tendant la route elle vous j);)rte avec autertume de i ses quinze fiches et de la mazette de co!one)<)u'eiie nvai) pour pa! hx'r, ayez sniu de ne pas vous jn'ononcer complètement, mais n'essayez point de contrecarrer ses appreciations.

Lorsque vous feutrez chez vous sur les quatre heures du matin, après avoir été mouillé de sueur