champs, un volume in-8o, Paris, 1840. D’autres, celle de Caussin de Perceval, neuf volumes in-8o, Paris, 1806, celle de Destaings, avec préface de Charles Nodier, six volumes in-8o, Paris, 1822, celle de Gauttier, sept volumes in-8o, Paris, 1822, sont augmentées de quelques contes.
Le Dr J. C. Mardrus l’a exécutée sur l’édition égyptienne de Boulak, qui lui a paru la plus riche en expressions de pur terroir arabe et, à différents points de vue, la plus parfaite (quoi qu’en ait pu penser Burton). Elle est, en outre, la plus concise. Mais il ne s’en est pas uniquement contenté, ayant puisé, pour certains détails, dans l’édition Mac Noghten, dans celle de Breslau et surtout dans les différents manuscrits. Elle comprend seize volumes in-8o carré, dont trois volumes paraîtront chaque année.
Le premier volume ne contient que les vingt-quatre premières Nuits. Mais les volumes suivants, surtout les derniers, en comprennent un nombre bien plus considérable. Cette division est celle même du texte arabe original, où les Nuits deviennent de plus en plus courtes à mesure qu’elles s’acheminent vers la mille et unième.
Souhaitons maintenant au lecteur le plaisir