tion générale, et, en moins de temps qu’il n’en faut pour fermer un œil et l’ouvrir, il les déposa sur le sommet de la montagne Kâf.
Alors le garçon dit à la fille : « Qui est maintenant le vainqueur ? Est-ce celle qui a pris de ma poitrine le cul de la poule, ou celui qui a pris la fille du roi du milieu de son palais…
— À ce moment de sa narration, Schahrazade vit apparaître le matin et, discrète, se tut.
LA NEUF CENT CINQUANTIÈME NUIT
Elle dit :
« … Qui est maintenant le vainqueur ? Est-ce celle qui a pris de ma poitrine le cul de la poule, ou celui qui a pris la fille du roi du milieu de son palais ? » Elle répondit : « Sous ta protection ! Pardonne-moi ! Et si tu veux me reconduire dans le palais de mon père, je t’épouserai, en disant : « Celui-ci m’a vaincue. » Et j’ordonnerai aux médecins de remettre le cul de la poule dans ta poitrine. » Il dit : « Bien. Mais le proverbe dit : « Il faut battre la barre quand elle est molle ! » Et moi je veux faire avec toi ce que tu sais, avant le transport ! » Elle dit : « Bien. » Alors il la prit, et se coucha sur elle, et, l’ayant trouvée à point, il s’apprêta à la battre où il fallait pendant qu’elle était molle. Mais, soudain, elle lui