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Page:Le livre des mille nuits et une nuit, Tome 2, trad Mardrus, 1916.djvu/305

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histoire de ghanem et de fetnah
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Or, à ce moment justement, la fillette venait de prendre un bain complet dans le hammam de la maison, car elle sentait bon de fort loin, et elle était délicieuse et parfumée et toute lustrale ; quant à sa figure, elle était comme la lune dans sa quatorzième nuit. Me voyant, elle courut à moi et nous nous mîmes à jouer, à nous ébattre et à faire mille petites folies ; et elle me mordait et je l’égratignais, et elle me pinçait et moi également, si bien qu’au bout de quelques instants mon petit zebb s’érigea et se gonfla et devint comme une clef énorme et saillit considérablement sous ma robe. Alors la petite se mit à rire et s’élança sur moi et me renversa par terre sur mon dos et vint se mettre à califourchon sur mon ventre ; et, là, elle se mit à se frotter et à me frotter et finit par mettre mon zebb à découvert. À la vue de mon zebb qui s’érigeait turgescent, elle le prit avec sa main et se mit à s’en frotter et à s’en chatouiller les petites lèvres de sa vulve, mais seulement par dessus le caleçon qu’elle portait. Mais ce manège fit que ma chaleur s’intensifia et devint telle que j’accolai la petite fille, et elle m’accola et se suspendit à mon cou et me serra de toutes ses forces. Et voilà que soudain, je ne sais comment, mon zebb devenu comme le fer perça le caleçon de la fillette et pénétra entre ses lèvres, et, du coup, lui enleva sa virginité.

Une fois notre chose finie, la fillette se reprit à rire et se mit à m’embrasser et à me cajoler ; mais moi, je fus terrifié de ce que je venais de ravir et, sans plus m’attarder, je m’échappai des mains de ma petite maîtresse et me mis à courir et allai me cacher chez un jeune nègre de mes amis.