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Page:Le oui et le non des femmes.djvu/10

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ii
préface

Vous êtes mon ami, puisque vous avez acheté ce volume ; alors je vous aime.

Ou mon ennemi, et, dans ce cas, vous vous êtes donné la peine de couper ces pages écrites dans des jours d’ennui ou d’espoir, pour les déchirer ensuite à belles dents.

Ou bien peut-être, cette hypothèse est probablement la plus vraie, n’êtes-vous qu’un indifférent ; tant mieux !

Les indifférents, voyez-vous, c’est encore ce qu’il y a de meilleur.

L’indifférent qui passe sans vous voir sera peut-être votre ami du lendemain ; si, par fâcheuse aventure, il devient votre ennemi, eh bien, on a toujours vingt-qua-