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Page:Le oui et le non des femmes.djvu/13

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v
préface

vous dire : « Je ne suis qu’une faible femme ! » Absurde ! si j’étais faible, je ne serais pas femme.

Je voulais simplement que vous sussiez que ceci n’est point une histoire, encore moins une autobiographie ou un plaidoyer.

J’ai cherché un cadre pour définir certaines aspirations, certaines théories qui viennent dans la tête d’une femme sans qu’on sache comment et qui s’en vont de même.

Plus tard, je ferai un autre livre bien différent, parce qu’il contiendra les vérités vraies de la vie, dont celui-ci n’est que l’ombre.

Mathilde Stev.