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Page:Le oui et le non des femmes.djvu/227

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XX


Le lendemain, la comtesse Caroline reçut les trois lettres qu’on va lire.

LUCIEN À CAROLINE

« Ma chère bien-aimée, me pardonnerez-vous jamais ? Je suis un fou et je vous ai égarée par mes sophismes. Je vous aime et le temps des épreuves est passé. Voulez-vous devenir ma femme ? Notre union régularisera ce que notre