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Page:Le oui et le non des femmes.djvu/38

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III


— Alors, dit la mère Pichel, qui avait persévéré dans son histoire de voleurs, le brigand fut condamné aux galères à perpétuité pour dix ans, et ce fut bien fait. Madame la comtesse n’a plus besoin de moi ?

— Si, ma bonne Jeanne, restez.

— C’est que, fit la femme du régisseur avec embarras, si madame le permettait, je ferais