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Page:Le oui et le non des femmes.djvu/99

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IX

LUCIEN À MARTHE


Plaignez-moi, ô ma belle et austère Marthe ! je suis bien malheureux : je hais cette femme que j’adore.

Vous me comprendrez vous qui comprenez tout ; vous me plaindrez et vous me conseillerez ; fasse le ciel que vos lettres et votre voix, plus encore que vos conseils, me ramènent à vous.

Hier au soir, j’ai passé la soirée avec elle, je