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DE JEAN LE DUCQ.


7. Les chiens qui se mordent.

7) Cette estampe, en vérifiant le proverbe italien : Fra due litiganti il terzo gode, semble représenter la seconde partie de l’histoire des deux chiens de la pièce précédente. Des murmures ils en viennent à la guerre ouverte, et tandis qu’ils se mordent , un tiers leur happe le morceau pour lequel ils se battent. Les deux chiens occupent la droite de l’estampe, l’un d’eux, tout-à-fait renversé sur le dos , se défend avec ses jambes tendues contre l’autre qui a ses deux pattes de devant posées sur lui. De ce même côté , à une petite distance , on voit un troisième chien , emportant la poule disputée dans sa gueule, et s’enfuyant vers le fond, regardant derrière lui vers les deux combattans. Le fond présente la vue de quelques bâtimens ruinés dont un est au haut d’une colline , au bas de laquelle coule une rivière. On lit au haut de la droite : J. Le Bucq fe. 1661. et le numéro 7.

8. Le chien buvant.

8) On voit sur la droite de cette estampe, devant une roche , un bassin carre sur le